Date : 04/04/37
Lieu : Ile des trolls.
Nom(s) des mercenaires en présence :
-Sergent Shelton
-Vétéran Arliden
-Vétéran Chantesang
-Mercenaire Prescott
-Mercenaire Loon
-Mercenaire Brisétoile
-Mercenaire Hanssen
-Recrue Leinart
-Recrue Kvehr
-Recrue Callahan
Rapport :
On a reçu l'ordre du Capitaine de prendre d'assaut des ruines sur une île tenue par des trolls, qui représentait un "danger" en particulier de vouloir invoquer leur "Loa" dans ce monde.
Comme si des créatures aussi primitives représentaient une menace...Si ça ne tenait qu'à moi j'aurais bombardé l'île avec une canonnière pendant deux trois jours histoire de faire le ménage, puis trois jours de plus pour être sûr que toute trace de la vermine est disparue.
Bref, on a donc débarqué avec les mercenaires cités sur une île entourée de sentinelles ennemies, mais avec mon idée que le Sergent a approuvé on a envoyé la recrue Callahan faire l'appât, comme ça en cas de "problème", pas une grande perte pour la compagnie.
La plan a plutôt bien fonctionné et avec l'aide d'une canonnière gobeline, on a attiré les trolls dans un piège, un beau massacre mais je préfère utiliser les mots de purification bienfaitrice pour l'île. Néanmoins un trolls, le chef sans aucun doute, c'est enragé comme une bête et n'a fait que confirmer mes propos sur cette "race". Il a blessé plusieurs mercenaires, moi compris avant qu'on ne le mette à terre.
Nous avons donc ensuite poursuivis vers les ruines et avons découvert une sorte de rituel primitif. Nous avons donc ordonné à la canonnière de faire feu sur l'endroit. Simple et efficace, peut être un peu trop. Une hydre gigantesque c'est relevé des ruines et de la fumée et elle parlait. Une abomination.
Le Sergent a ordonné la retraite et nous avons couru alors qu'elle nous poursuivait. Heureusement les cousins des gnomes dans leur canonnière se sont mis entre nous et l'hydre ce qui nous a permis de fuir. Utile pour une fois.
Conclusion :
Problème des trolls résolus, mais l'île abrite maintenant une hydre qui parle.
Et on a perdu la recrue Kverh, avec un peu moins de bravoure et un peu plus de jugeote, il serait encore en vie. Mais bon, un nain reste un nain.
Signature de Thomas Hanssen