Rumeurs de la compagnie

Rebecca se mêlait à la vie Hurleventoise plus ou moins comme tous les autres depuis bientôt une semaine maintenant. Se reposant et vaquant à ses occupations, il n'était pourtant plus si rare que ça depuis peu de la voir reprendre ses grimoires, schémas et autres parchemins où étaient couchés runes et symboles.

L'enchanteresse semblait notamment finir de travailler sur les croquis d'un certain marteau ainsi qu'étudier des symboles que les plus observateurs auraient pu voir sur le boomerang utilisé par Althea, parfois dans la salle commune à l'intérieur du Brise-Voiles et parfois même directement dans l'enceinte de la Cité Blanche, profitant du climat printanier qui caressait le sud des Royaumes de l'Est.

Parfois enfin, il était possible d'apercevoir Rebecca en train de tracer quelques runes - toujours éphémères - sur le dos de sa main droite. Ses yeux se nimbaient de bleu quelques secondes avant que le tout ne disparaisse, la mage semblant expérimenter. Mais sur quoi ?

Citation :

Depuis un peu plus d'une semaine déjà la compagnie était rentrée de Zandalar. Ils étaient revenus triomphant, l'expédition du professeur Settler avait été un succès retentissant pour le vieil homme.

Durant cette escapade le professeur à pu observer et compiler les informations dont il avait besoin concernant la faune écaillée de Zul'Dazar, il avait vu des choses que peu d'humains auront la chance de voir dans leur vie et il en était heureux tel un enfant.

De retour en ville il aura d'abord fait parvenir le reste du paiement dû à Retribution. Après quoi il aura mis les artefacts à disposition du capitaine, ce dernier en aura choisi deux. Les deux autres iront à la ligue des explorateurs, "leur place est dans un musée" aura déclaré le vieil homme !

Aaron Settler n'aura pas perdu de temps, il prépare déjà un large exposé pour faire part de ses découverte à ses collègues. Il se murmure dans les couloirs du quartier général de ligue que Retribution est une compagnie de mercenaire en qui on peux avoir confiance.

Du côté des autres protagoniste de cette expédition, John Malcolm est également revenu à la vie de chercheur. Son attitude peu professionnelle lors de l'expédition lui aura valu des remontrance de la part de Settler. Désormais Malcolm doit faire à nouveau ses preuve auprès de la ligue avant de diriger lui même une expédition.

Wills est malheureusement mort sur la plage de Nazmir. Un enterrement aura été organisé aux frais de Settler. Peiné par la mort de son ami il aura dépenser sans compter pour que le brave aventurier puisse quitter ce monde avec les honneurs. De ses hommes il ne reste que Moki-Moki et Duran Martefer en vie. Tous les autres auront trouvés la mort dans la jungle maudite des Zandalaris... Personne ne sait ce que comptent faire le hozen et le nain désormais.

Les mercenaires avaient fait un paquet de chemin, le professeur Aaron Settler se souviendra toute sa vie de cette folle escapade dans la jungle avec Retribution !

Toute la journée du vendredi ou presque, Rebecca n’avait pas quitté le Brise-Voiles et pour cause, l’enchanteresse avait travaillé sur un projet d’envergure d’aucuns avaient déjà eu vent ces dernières semaines. Penchée sur un marteau Barbe-de-Bronze fait pour la forge et couvert de runes, l’arcaniste y avait étalé à côté plans, schémas, bâtonnet en vrai-argent et nombre de composants. Puis, lentement mais sûrement la magicienne s’était mise avec une précision d’orfèvre à la tâche.

Les yeux luisant de bleu comme à chaque fois qu’elle lançait un sort, les composants venaient se désagréger en volutes de la même couleur alors qu’ils prenaient leur nouvelle place sur le marteau. Guidés par le bâtonnet à la manière d’un orchestre par son chef, ils s’imprégnaient sous la forme de nouvelles runes – bien enchantées cette fois – qui s’associèrent à celles déjà existantes, créant de nouveaux motifs. Le processus était long et fastidieux aussi la mage avait fait en sorte de s’isoler alors qu’elle enchantait l’outil avec tout son savoir faire.

Éreintée et ses composants évaporés dans le marteau de forge aux symboles maintenant luisants, Rebecca termina son œuvre en fin d’après-midi. Gardant précieusement l’objet, elle le remit finalement à celui auquel il était destiné en fin de soirée, à savoir nul autre que le forgeron attitré de la compagnie, Hilliard. La mage n’aura ensuite pas fait long feu et sera allée profiter d’un repos bien mérité dans son hamac, après un rapide tour dans les rues de la Cité Blanche.

Après avoir écrit sa petite annonce, Marie aura rassemblé les quelques affaires lui appartenant encore sur le bâteau. Elle aura salué les mercenaires présents, le sourire aux lèvres puis aura rendu son tabard et son uniforme à l'intendance avant de quitter le navire et se rendre en ville pour vivre sa nouvelle vie.



Les mercenaires auront pu voir une curieuse scène dès ce début de matinée.

En effet, Eglantine sera revenue au navire gavée de bandages autour de son torse, entourée par Jean Pélissier et Colin d'Amara.

La jeune femme avait visiblement quelques difficultés à se déplacer, à parler ou même à respirer.

Les mercenaires curieux apprendront sans mal qu'Eglantine a dû subir une opération à la Cathédrale, accompagnée de ses deux soigneurs pour une remise en place de ses côtes, ou quelque chose du genre.

Fort heureusement pour elle, les soins à la Lumière post-opératoire lui permettent tout de même de tenir debout et de pouvoir vivre à peu près normalement mais au ralenti.

Discrète depuis la campagne de Dazzar'Alor, la moniale qui passait le plus clair de son temps à apaiser les maux des mercenaires à l'infirmerie, plutôt qu'en mission, avait ce matin échangé avec le lieutenant Farrey. C'est tranquille qu'elle accrocha son baluchon à son bâton de moine, le balançant par dessus son épaule et s'en alla après quelques au revoir et des remerciement pour le temps et l'expérience acquise.

N'étant en possession que de quelques marques noires, gardant une bague comme souvenir de son passage, elle donné une petite lettre et des consignes à Gatsi.

Citation :

"C'est avec joie et remerciements que je vous quitte, aussi j'aimerais faire don de ces gages de service à :

- Alieg, Rebecca, Alani, Druss, grâce à qui nous avons levé le mystère sur l'activité des Drust en lien avec la nécromancie sur l'île de la Renaissance. C'est cette expérience que je retiendrai de mon passage, et notre équipe insolite m'a apporté beaucoup. Je vous lègue neuf marques, chacun.

- Brauwen, Colin, Gatsi, vous avez été des compagnons que je n'oublierai pas non plus, recevez de ma part trois marques.

Puisse le Serpent de Jade vous guider, Rétribution."

Griseveille avait quelque chose de familier pour le forgeron de la compagnie, et preuve en était qu'il n'avait pas manqué, dès très tôt dans la matinée, d'aller saluer quelques visages connus dans la garnison, et de s'entretenir avec ces mêmes soldats un bon moment.

Mais il ne tarda pas non plus a s'approprier la forge qui avait tout de l'espace de travail idéal, et cela pouvait aisément se lire sur son visage qui s'était paré maintenant d'expressions ne pouvant que trahir sa bonne humeur. 
Ici, les bruits de la vie de la garnison n'étaient pas ceux de la jungle de Zuldazar, et ça, il en était visiblement bien heureux. Mais surtout, il était bien décidé a se joindre à la cacophonie ambiante en travaillant le fer, que ce soit pour tester son nouveau marteau, ou user des méthodes les plus traditionnelles qu'il affectionnait tant.

On le vit ainsi motivé à passer bien toute sa journée à retaper quelques pièces d'armures laissées sur le côté à Hurlevent par manque de temps, trier, arranger ses affaires pour optimiser sa forge, mais aussi se pencher sur des plans complexes confiés la veille par l'enchanteur Borghese, se parant alors pour leur étude, de traits bien plus concernés, cette fois ci.

Une chose était sûre, le soleil semblait au beau fixe pour ce dernier, et ce, par tous les temps probables.

Citation :

Griseveille était un havre de calme au milieu des montagnes. Ancien et bien organisé, le fort et ses occupants semblaient habitués à recevoir de la visite et se montraient courtois avec les mercenaires. Les rumeurs évoquaient des tensions avec les vrykuls voisins, mais rien qui soit de nature à rendre la région monstrueusement dangereuse.

Le vieux thane en exil, Kedrak Mâchenclume, s'était contenté d'une tente en compagnie de son vieux compagnon, Toran Côte-de-Fer, laissant à sa nièce l'usage d'un lit dans la bâtisse du fort. Pas avare en discussions, ouvert et racontant volontiers légendes et anecdotes, il n'aura pas manqué de se mêler aux mercenaires et à la garnison locale, faisant part à qui voudra l'entendre son plaisir de partager avec eux cette formidable aventure. Des raisons de sa présence et de son véritable but, il aura en revanche moins parlé, quitte à dire franchement à ses interlocuteurs de se mêler de leurs affaires.

Lousha Trempsel se montrait un peu plus sauvage. La marteau-hardi passait le plus clair de son temps avec son immense ours, Toutmiel, qui semblait se montrer plus curieux que sa maîtresse vis-à-vis des occupants de cet étrange endroit.
Comme elle, Sednarri se montrait peu auprès des mercenaires, et ne leur adressait rien de plus que les politesses les plus élémentaires, d’un air ennuyé. Souvent isolée, même du reste de l’équipe, elle semblait passer le temps entre méditations et entraînements vigoureux, ses bras épais marqués de runes maniant deux haches au fer également gravé.

De la gnome on entendait surtout ses cris alors qu’elle malmenait son assistant pour qu’il remplisse la multitude de tâches plus ou moins pertinentes qu’elle lui confiait. Du reste, elle ne manquait pas de commentaires désobligeants à adresser aux mercenaires quoi qu’elle ne semblait pas, paradoxalement, les insulter directement ou ne pas les apprécier.

Après un voyage placé sous le signe de la morosité pour l’arcaniste, cette dernière n’allant pas particulièrement vers les autres mercenaires et préférant davantage se plonger dans la contemplation de la Grande Mer ou bien l’étude d’un de ses nouveaux grimoires. Remplis de symboles complexes et de runes, il pouvait sembler bien nébuleux même pour les autres mages de la compagnie et Rebecca elle-même s’attardait plus que d’ordinaire dessus, tentant de les déchiffrer et percer leurs mystères. Elle tentait toujours par ailleurs, comme depuis le début de la permission, d’appliquer des runes temporaires sur elle-même et son équipement avec un succès tout relatif, bien que les progrès de l’enchanteresse s’étaient fait plus notable avec son dernier tome acquis.

Une fois arrivé à Griseveille, l’humeur de la mercenaire n’aura que peu évoluée. Si elle se plaisait à admirer le sol et les forêts dorées qu’habitaient les vrykuls, ainsi que d’observer de loin les gigantesques structures laissées par les titans, la nature des soldats du camp avait rendue méfiante bien plus que de raison Rebecca. La mage ne sortait jamais de sa tente qu’elle partageait avec sa nouvelle camarade sans ses armes et son armure de cuir au complet. On aura même pu la voir à l’entraînement et pendant son temps libre s’exercer avec le boomerang laissé par Althea à son départ, l’arme enchantée ne quittant autrement jamais sa ceinture.

Cependant, une des membres de l’expédition menée par Hyperfuse aura semblé susciter l’intérêt de Rebecca, le regard de l’enchanteresse étudiant à l’occasion les runes tatouées et gravées sur les bras et armes de Sednarri Frapperouge. La mercenaire n’aura pas été troubler la naine cela-dit, la laissant à ses méditations et allant de son côté vérifier ses ouvrages et les runes sur son propre bras, cherchant sans doute des similitudes ou à l’inverse des différences.

Et Lumière sait que la magicienne était venue préparée, prête à étudier les moindres découvertes faites pendant ce contrat.

Nouvelle campagne, nouveaux horizons, nouvel air... Mais cette fois ci est différente. Cette fois ci, c'est la bonne.

Les plus anciens auront reconnu dans les yeux de Céleste cet éclat ardent de détermination, cette Ténacité qui ne l'aura jamais vraiment quittée depuis sa lointaine arrivée à Vaillance et Féralas. Comme à cette époque, la jeune prêtresse semblait bien décidée à prouver qu'elle n'était pas que son titre. Dès les premières heures du jour, elle s'affairait à tout ce qui pouvait avoir besoin d'aide, que ça soit les tâches du camp ou l'humeur de ses compagnons de fortune.

Les entraînements physiques étaient assidument suivi, les cheveux attachés et son corps comprimé pour ne pas la gêner, sans un mot et sans un râle, une flamme dans ses prunelles vertes. Les passages à l'infirmerie et l'intendance étaient nombreux, apportant toute l'aide physique qu'elle pouvait à sa Soeur de toujours, ainsi qu'une solide dose de bonne humeur.

Cette bonne humeur d'ailleurs, ce sourire facile qui la caractérise tant ne saurait s'effacer un seul instant, la jeune prêtresse brillant pour dix. Cette fois ci c'est la bonne. Cette fois ci, elle ne se laissera pas dévorer par la peur, par les bourdonnements, par les secousses. Ses lointains souvenirs dévorants ne sont plus qu'un désagréable murmure alors qu'elle repense au tirage de Mischa.

Elle restera droite. Elle restera forte, suivant sa propre Ténacité.

Ce premier jour du cinquième mois avait quelque chose d'un peu spécial. Ou tout du moins dans l'air de Griseveille.
Pourtant, pas de dragons, pas de malédiction, ni d'évasion de Vrykul; juste le quotidien bien rythmé d'une garnison occupée par les mercenaires et les soldats de Gilnéas.
Mais en vérité, il n'y avait ce petit quelque chose de spécial que pour une personne, et ce, à son grand damn ou sans grand plaisir, difficile à prévoir.

Et pour cause. La journée de Céleste ne manqua pas d'être ponctuée de petites pauses étalées dans la journée, de sollicitations marquées par les soldats de la garnison (Au nombre de vingt-deux exactement), qui avaient tous eu la même charge de lui offrir un seul brin de fleur chacun, de ces fleurs pullulant tout autour des barricades, jaunes pâles. 
Et à chaque fois, de ces vingt-deux fois le même geste, chaque soldat qui avait tenu le rôle s'éclipsait bien vite, pour retourner a leurs tâches et ne pas déranger plus longtemps celles de la prêtresse.
A l'exception d'un plus malchanceux, qui lui, se fit attraper pour se faire rappeler à l'ordre par le sous-lieutenant Tallfield.

Le coupable de cette infâme supercherie? Le mystère restait entier. Quoi qu'il suffisait d'orienter son regard en direction de la forge pour très vite comprendre que les nombreux sourires en coin et hochements de têtes entendus a chacun des complices, n'avaient probablement aucun lien avec ce qu'il frappait de son marteau toute la journée durant.

Une grande, grande confusion, voilà ce qui prit la prêtresse à cette première fleur offerte, ayant comme étrange réflexe de s'excuser auprès du pauvre bougre comme pour refuser ses avances.

Cependant après la deuxième, troisième, quatrième... Elle sentit bien qu'un jeu s'était lancé dans son dos, et il n'était pas bien difficile de deviner qui aurait pu demander l'assistance de ces braves soldats, connu d'aucun sauf... Hilliard, qu'elle n'alla pas déranger à sa forge.. oh non, pas encore.

Non, la prêtresse qui peinait à ne pas s'excuser à chaque livraison d'un air un brin gêné s'éloigna des lieux de rencontre principaux des mercenaires, s'évitant plus de regards étranges tandis qu'elle subissait son cadeau à retardement, poursuivant ses tâches bien à l'écart.

C'est aux alentours de la huitième fleur qu'une idée lui traversa soudainement l'esprit, un sourire malicieux, presque vicieux étirant ses lèvres tandis qu'elle s'en allait récupérer quelques bouts de ficelle et deux trois attaches avant de retourner à son coin bien à l'écart, accueillant chaque nouvelle fleur d'un air positivement ravi, presque effrayant tant elle semblait jubiler de sa réponse à venir.

Et quand plus aucune fleur de vint, ou vers la vingtième si celles ci prenaient trop de temps à arriver, elle ira chercher dans sa tente.. un bien joli peigne serti de perles nacrées, qu'elle glissa discrètement entre un amas de fleurs et de tige. S'approchant alors de la forge, seulement armée d'un large sourire, elle ira déposer sa magnifique couronne de fleurs jaunes sur la tête d'Hilliard, dont les cheveux s'animeront soudainement pour prendre la forme d'un bien élégant chignon et sécurisant contre sa tête la couronne en l'entortillant de quelques mèches.

Sans un mot ni un regard de plus, la prêtresse a l'humeur rayonnante aura laissé ainsi la belle mariée à son établi, si joliment coiffé !

(La mâââgnifique coupe)

Citation :

Accompagnée d’une petite équipe de mercenaires et de son fidèle assistant, la prospectrice s’était rendue dans le petit caveau nettoyé quelques jours auparavant.
Les traces de sang discrètes lui tirèrent quelques moues critiques, mais elle choisit pour une fois de ne pas se plaindre et de se concentrer sur sa tâche; nombre de pages furent noircies de relevés et de notes, de schémas et de dessins.
Le caveau fut disséqué sous toutes ses coutures pour son intérêt archéologique et historique; chaque rune, chaque inscription répertoriée et copiée avec une diligence maniaque.
Le tout serait ensuite soigneusement consigné dans un dossier numéroté et conservé avec soin dans les sacs de la gnome, à l’abri à Griseveille.

Trouver sa place…
J’avais l’envie furieuse de me gratter les bras, de m’immerger le corps entier pour me débarrasser de ces saletés ; les poils de ces bêtes répugnantes volaient de partout, s’accrochaient aux semelles et pénétraient jusqu’à dans ma tente. Pas un seul répit, à aucun moment.
Je n’avais pas besoin de tendre l’oreille pour entendre leur respiration, pas besoin de les chercher pour les apercevoir ; ils étaient partout et nulle part à la fois, comme dans un cauchemar. Mais ce n’en était pas un... Non. Un cauchemar connaissait sa fin au réveil, et ses démons avec lui s’évaporaient.
Elles… Ces créatures de chair et d’os, épouvantables, hantaient mes jours et mes nuits depuis mon arrivée dans ce campement ; je voyais leurs yeux luire dans le moindre recoin, et sentais leur haleine fétide dans ma nuque. Des bêtes qu’il convenait d’abattre… Je ne dormais jamais loin de mon fusil, et il aurait moins fallu une audacieuse irruption qu’un grognement pour que je m’en saisisse.  
Trouver sa place…
Ce n’était certainement pas ici, et les prochains jours le confirmeraient avec son départ ; la mésange avait pris son envol, fuyant toutes ces pairs d’yeux fauve.